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Guy Dauphin, chevalier du Temple

Dauphin d’Auvergne ou Dauphin du Viennois ?

« Il est certain que sous le règne de Philippe le Bel il y avoit en France deux Seigneurs de grande qualité appelés Guy Dauphin, l’un fils d’Humbert de la Tour Dauphin de Viennois, et l’autre fils de Robert II, Comte Dauphin d’Auvergne »1.

« Dauphin » est le nom que s’adjoignent les personnes issues de la lignée des comtes d’Albon et de Viennois. C’est aussi le meuble qu’il choisissent de placer sur leur écu. Les Dauphins d’Auvergne sont issus du mariage du comte d’Auvergne Guillaume VII, dit le Jeune, avec la Marquise d’Albon dans la première moitié du 12ème s. Le premier comte du Viennois à s’adjoindre le surnom de « dauphin », est Guigues IV, et ce dès 1110. Le titre officiel de « Dauphin du Viennois » sera définitivement adopté par son successeur, Guigues, qui régna à partir de 1142.

La question de savoir à laquelle des deux lignées Guy Dauphin appartenait n’a jamais été définitivement résolue. Quelle qu’elle soit cependant, il descendait à l’origine de la famille viennoise d’Albon. Dans son Histoire généalogique de la Maison d’Auvergne (t. 1 p. 174), Etienne Baluze souligne que deux personnages nommés Guy Dauphin coexistaient au tournant du 14ème s. : Le fils d’Humbert de la Tour-du-Pin, dauphin du Viennois, et le fils de Robert II d’Auvergne dit « Dauphin ». Tous deux auraient été frères du Dauphin en titre.

Dupuy fait de Guy Dauphin le frère du Dauphin de Viennois2, or la vie de ce Guy est assez bien connue : titré baron de Montauban, il était marié et vivait toujours après 1314. Il existe en effet aux Archives de l’Isère un document (coté B 3009) qui n’est autre que le testament de ce Guy Dauphin, seigneur de Montauban, frère du Dauphin Humbert. Ce testament a été rédigé à Causans, dans le Vaucluse, en 1317 ou 18. Il s’y déclare marié à Béatrix et père d’Anne, épouse du seigneur des Baux. Si, en 1317, il a une fille mariée, il ne pouvait pas être Templier quelques années auparavant. La question est donc réglée.

Il s’agit donc de l’autre Guy Dauphin, le frère du Dauphin d’Auvergne qui avait fait profession dans l’Ordre du Temple. Il en est pour preuve le testament écrit en 1281 par leur père, Robert II. Il lègue « à son fils cadet Guy, chevalier de la milice du Temple, et en son nom à cet Ordre, 100 sols de rente »3. Guy en effet, en tant que Templier, avait fait vœu de pauvreté et ne pouvait donc recevoir aucun legs. Son père n’avait que la possibilité d’instituer légataire à sa place l’Ordre auquel il appartenait.

Tableau extrait de l’Histoire Généalogique de la Maison d’Auvergne de Baluze

La Ronzière ou La Vausete ?

Une autre ambiguïté réside dans le lieu de réception de Guy Dauphin. Dans sa déposition de 1307 à Paris, il déclare avoir été reçu à La Vausete en 1282 par Francon de Bort avec deux autres Frères chapelains admis en même temps que lui. Dans sa déposition de 1311, il donne à cette maison le nom de Ranseria. Dans leur ouvrage sur le Procès des Templiers d’Auvergne, R. Sève et A-M. Chagny-Sève n’hésitent pas à affirmer que La Vausete « n’est qu’une déformation de La Ronzière ». L’excellent site templiers.net se range aussi à cette opinion.

L’identification de La Vausete est très problématique. Aucun toponyme de ce nom n’existe ni ne semble avoir existé. Le plus approchant est Labessette, mais ce bourg est éloigné de La Ronzière de plus de 80 km. En revanche, les toponymes basés sur la racine du mot « ronce » sont fréquents. On s’accorde en général pour identifier Ranseria avec La Ronzière, au sud de la commune de Chadeleuf, où les Templiers de Montferrand possédaient une maison. Toute autre hypothèse semble devoir être écartée, même celle qui proposait Ronzières, près de Vodable, avec son enceinte fortifiée, sa Vierge noire hiératique et son célèbre pèlerinage. Ainsi que le soulignait Elie Jaloustre dans son Pèlerinage d’Auvergne : « … il n’y a jamais eu à Ronzières, ainsi qu’on l’a écrit, de préceptorerie du Temple : on a confondu avec la commanderie de la Ronzière, près de Chadeleuf4 ».

La commanderie de la Ronzière (geoportail)

La Ronzière eut une annexe à Ponguison. Le toponyme a aujourd’hui disparu mais il est dit que ce lieu se trouvait à une demi-lieue de Saint-Germain-Lembron. Au nord de ce bourg, à deux km 500 environ, on trouve en effet, côte à côte, deux lieux qui pourraient correspondre : Chassaing et Chauliat, dont l’un au moins abritait une commanderie des Hospitaliers. Elle remonterait à 1309, une date qui permet d’envisager une présence templière antérieure. Les données sont rares sur cette commanderie appelée parfois des deux noms accolés. Il existe encore à Saint-Germain-Lembron une rue de la Ronzière mais rien ne permet de dire que ce nom est en relation avec la commanderie mère.

du sud au nord : Saint-Germain-Lembron – Chassaing Chauliat – Chadeleuf / La Ronzière (Cassini geoportail)

De l’autre côté de l’autoroute, face à Chauliat, se trouve le Puy-de-Joux qui culmine à près de 500m. « Joux » ou « gaut » désigne un bois, une lande inculte, et « puy » vient de « podium », la hauteur, de sorte qu’on pourrait risquer l’hypothèse que Puy-de-Joux corresponde à Ponguison, ce qui conforterait l’identification avec la commanderie de Chassaing/Chauliat.

Néanmoins, il paraît peu plausible que La Vausete et La Ronzière désignent le même lieu. La question reste posée.

Essai de reconstitution de sa biographie

Lors du procès de 1311, Guy Dauphin se présente sans le manteau de l’Ordre et le menton glabre pour respecter les recommandations du Concile de Sens qui l’avait déclaré réconcilié. Il déclare être âgé de 41 ans, ce qui le fait naître approximativement en 1270, et précise qu’il n’avait que onze ans lors de son admission. Il comptait donc déjà, malgré sa relative jeunesse, 30 ans d’ancienneté dans l’Ordre au moment des événements qui vont précipiter sa fin. Les réceptions d’enfants, pour être assez rares, n’étaient pas exceptionnelles, et on observe que ce type de dispense était accordé pour des fils de famille de haute noblesse. L’Ordre de Malte, par la suite, pratiquera de la même manière.

En 1281, il est donc reçu dans l’Ordre à La Ronzière au diocèse de Clermont par Francon de Bort, chevalier, alors précepteur d’Auvergne5. Selon ses propres dire, parmi les laïcs présents figuraient son père le Dauphin d’Auvergne, le seigneur de Mercœur et beaucoup d’autres nobles, ce qui laisse augurer d’une destinée exceptionnelle au sein de l’Ordre.

En 1284 (il n’a alors que 14 ans), il se trouve à Acre où il assiste à la réception de Roncelin de Fos, futur précepteur de Provence, par le Grand Maître de Beaujeu. Sont présents avec lui Thibaud Gaudin, alors précepteur de l’Outremer, qui reprendra la grande maîtrise après Guillaume de Beaujeu, le drapier de l’Ordre, le précepteur d’Acre, Florent de la Ville, un proche du Grand Maître, et bien d’autres.

Vers 1297, Guy Dauphin occupe la fonction de précepteur de Jussy-le-Chaudrier où il reçoit deux frères servants. C’est lui-même qui nous l’apprend dans sa propre déposition6.

Une autre mention de lui se trouve dans le Procès de Chypre : Pons du Puy, du diocèse de Lyon, déclare avoir été reçu en 1299 par Hugues de Pairaud à Belleville-sur-Saône en présence de Pierre d’Albon et de Guy Dauphin. Il a alors 28 ans, ce qui est cohérent avec une naissance en 1270.

En 1299, il assiste à la réception par Pierre de Madic, le précepteur d’Auvergne, de Pierre de Brion, un servant du diocèse de Clermont, à La Bastide7. Ce lieu n’apparaît dans aucune de nos cartes. Il se serait trouvé près d’Issoire.

En 1300, il assiste à la réception de Guy de La Roche, un prêtre de 30 ans du diocèse de Limoges, par le même Pierre de Madic à Bellechassagne en Corrèze, non loin d’Ussel8.

En 1301, il conduit lui-même la réception de Pierre Poyntet, dit le Berger, du diocèse de Bourges, au Temple de Jussy-le-Chaudrier dans le Cher9.

La même année, à Nicosie, « le frère Dauphin d’Auvergne » est présent aux côtés de Pierre d’Albon à la réception par Hugues de Pairaud de Pons de Puisieux, du diocèse de Laon, à Belleville-sur-Saône. Il n’en précise malheureusement pas la date10.

En 1303, il apparaît en tant que précepteur de Celles dans le Cantal. Il est alors âgé de 33 ans. Il reçoit à cette époque Etienne Larossilha, du diocèse de Clermont, au Temple de Chanat (sur Ludesse, dans le Puy-de-Dôme)11. Il semble être resté à Celles jusqu’à l’arrestation.

Vers 1304, il y recevait encore Guillaume Aynardi ou Arnaldi, un servant12.

Guy Dauphin devant les juges

Le 13 octobre1307, il est arrêté, sans doute au Temple de Paris. Les auditions commencent le 19. Guy Dauphin sera le quatrième à être présenté devant l’inquisiteur. Avant lui, Renaud du Tremblay, précepteur du Temple de Paris, Raynier de Larchant et Jean de Fouilloy, prêtre. Sa déposition sera brève, comme celle de tous les Templiers à ce premier procès de Paris13. C’est dans cette déposition qu’apparaît le nom de La Vausete (et non pas La Ronzière) en tant que lieu de sa réception. Il signale aussi qu’en même temps que lui ont été reçus deux frères chapelains. Ces sortes de réceptions multiples n’étaient pas rares.

Le 25 octobre, il comparaît au Temple devant l’inquisiteur, avec Jacques de Molay, Gérard de Gauche14, Geoffroy de Charnay et Gauthier de Liencourt, tous chevaliers. Le Grand Maître parle au nom de tous, reconnaissant tous les délits cités dans l’accusation et demandant pénitence15.

Le 29 juin 1308, ce même Jean de Fouilloy, présent le 19 octobre avec le Grand Maître et Guy Dauphin, est interrogé à Poitiers et son témoignage16 nous éclaire sur le rôle de Guy Dauphin. Lorsque le Grand Maître fit circuler dans les prisons des tablettes de cire pour demander aux frères de récuser leurs premiers aveux, c’est dans la « chambre du Dauphin » que se rendit son émissaire et c’est en ses mains qu’il remit le précieux dépôt afin qu’il en lise le contenu aux détenus présents avant de le rendre. Guy Dauphin est un frère connu et réputé fiable, bien informé en outre de ce qui se passait au plus haut niveau. Jean de Fouilloy rapporte en effet que ce dernier lui avait dit qu’à son retour d’Outremer, le Grand Maître apportait avec lui 150.000 florins d’or et dix chevaux chargés de gros de Tours, somme qu’il divisa en plusieurs parts. Il se rendit ensuite en Provence où il remit 100.000 florins à son frère de sang17.

Le lendemain 30 juin, Gauthier de Liencourt, le précepteur de la baillie de Reims, est amené devant les juges mais son témoignage n’apporte rien de plus pour ce qui nous concerne.

Nous ne possédons pas la déposition de Guy Dauphin lui-même lors de ce procès de Poitiers auquel il fut sans doute convoqué. Celles de Geoffroy de Charnay et du Grand Maître manquent également.

A la mi-juin 1309, lorsque s’ouvre le Procès des Templiers d’Auvergne, le nom de Guy Dauphin, curieusement, n’apparaît pas sinon dans une déposition, celle de Pierre de Brion, du diocèse de Clermont, que nous avons mentionnées plus haut.

Le lundi 11 janvier 1310 sont convoqués sept Templiers, la plupart chevaliers, tous titulaires d’une fonction18. Le premier cité est Guy Dauphin. Gérard de Cauche (de Causo), chevalier du diocèse de Rodez, fait lui aussi partie du groupe. L’audition de Guy Dauphin n’aura lieu que le mardi 1919. Il y décrit les modalités de sa réception à La Ronzière, puis énumère les réceptions qu’il a lui-même menées ou auxquelles il a assisté. A ce propos, il signale brièvement son séjour à Acre au tout début de sa vie de Templier. Les détails qu’il donne au sujet du rituel de réception, de la Règle, de la tenue des chapitres généraux, sont du plus grand intérêt.

Les données biographiques, on le voit, sont relativement succinctes mais elles permettent un aperçu assez clair de sa vie de Templier. On le voit en 1299 à la commanderie de Belleville-sur-Saône, la même année à La Bastide, en 1300 à Bellechassagne, en 1301 à Jussy-le-Chaudrier, en 1303 à Chanat. Il n’a conduit que quelques réceptions (selon le Procès), dont la première en 1301 à Jussy-le-Chaudrier. Ce n’est qu’en 1298 qu’il apparaît dans la fonction de précepteur de la commanderie de Jussy-le Chaudrier dans le Cher ; puis en 1303 à la maison de Celles dans le Cantal. Il est âgé alors de 33 ans. C’est donc en tant que tel qu’il procédera cette année-là à une réception à Chanat, puis à une autre à Celles même en 1306.

Guy Dauphin a dans l’Ordre un parcours qu’on pourrait penser sans éclat particulier dans la mesure où il n’exerça aucune haute fonction officielle. Discret, certes, mais très proche depuis son jeune âge des Grands Maîtres et de leur entourage, il fera partie du tout premier groupe interrogé à Paris avec d’autres dignitaires. Pour désigner la pièce où ils sont enfermés au Temple, l’un de ses codétenus parle de « la chambre de Guy Dauphin ». C’est à lui que l’on va remettre les tablettes de cire annonçant les options choisies par Jacques de Molay pour qu’il en révèle le contenu aux autres frères. Et surtout, la confiance qu’on lui témoignait était suffisamment profonde pour qu’on l’ait mis dans le secret du trésor rapporté de Terre Sainte par le Grand Maître.

Guy Dauphin est-il mort sur le bûcher avec Jacques de Molay ?

Nous avons laissé en suspens, pour ne pas alourdi cette petite étude, la question de savoir qui, de Guy Dauphin et de Geoffroy de Charnay est mort sur le bûcher avec Jacques de Molay. Le seul document, daté de mars 1313 (vieux style), faisant état de leur exécution par le feu dans l’île de la Seine ne mentionne malheureusement pas leur nom20.

La controverse trouve son origine dans la Nuova Cronica de Giovanni Villani, florentin né vers 1276 et mort de la peste en 1348. C’est au livre IX de sa Chronique, écrite au début des années 1230, qu’il fait le récit de l’arrestation, du Procès et de la fin des Templiers. « Ardendo il maestro a poco a poco, e sempre dicendo che la magione e loro religione era cattolica e giusta, accomandandosi a Dio e a santa Maria; e simile fece il fratello del Dalfino » (ils ont brûlé le Grand Maître à petit feu, lequel n’a cessé de répéter que la Maison et leur foi étaient catholiques et justes, puis il recommanda son âme à Dieu et à la Sainte Vierge ; et le frère du Dauphin fit de même).

Dupuy, à deux pages d’écart, parle du compagnon qui périt sur le bûcher avec le Grand Maître : p. 66, il cite « le frère du Dauphin » et p. 68, « le Maistre de Normandie »21, laissant supposer que Guy Dauphin était le précepteur de Normandie.

L’abbé Léon Neveu, bien plus tard, n’est pas plus clair. Il cite, avec le Grand Maître, Hugues de Pairaud, « et les deux commandeurs de Guienne et de Normandie » pour, quelques lignes plus loin, raconter que « deux voix interrompent le prédicateur. C’étaient le grand maître et le frère du dauphin d’Auvergne ». « Les deux Templiers relaps furent brûlés le soir même ». Il le réaffirme un peu plus loin : « Ainsi mourut le grand maître et avec lui, dans les mêmes sentiments, le frère du dauphin d’Auvergne »22.

Baluze, de son côté, dans l’ouvrage cité plus haut, écrit : « il y a lieu de croire que Guy estoit Commandeur d’Aquitaine ». C’est par un tour de passe-passe laborieux et plutôt maladroit qu’il efface la présence de Geoffroy de Charnay, précepteur de Normandie, aux côtés du Grand Maître. « Car il est certain que des trois arrestez avec le grand Maistre de l’Ordre, du nombre desquels estoit Guy Dauphin, il y en avait un qui estoit Commandeur d’Aquitaine et un autre Commandeur de Normandie ». Il n’hésite pas à balayer les objections : « Le continuateur de Nangis appelle cet autre Commandeur de Normandie. Mais il y a lieu de soupçonner que c’est une faute du copiste, lequel a mis Commandeur de Normandie au lieu de Commandeur d’Aquitaine » 23. C’est beaucoup demander au lecteur… La tradition maçonnique, à sa suite, s’appuiera sur cette identification.

Pourtant, quand on consulte la liste des précepteurs d’Aquitaine, on constate que Guy Dauphin n’y figure pas. A l’époque de l’arrestation, c’est Bernard de Selgues qui assumait cette fonction pour l’Auvergne et Geoffroy de Gonneville pour le Poitou.

La plupart des historiens, en revanche, se référant à la Chronique de Nangis24, un document contemporain qui désigne explicitement le commandeur de Normandie auprès du Grand Maître, écartent l’hypothèse Guy Dauphin. Lavocat opte pour Geoffroy de Charnay sans même évoquer quelque ambiguïté que ce soit. Parmi les contemporains, l’anglais Malcolm Barber, l’allemand Andreas Beck, les français Ivan Gobry et Alain Demurger agissent de même. Faute d’argument sérieux, il faut se rendre à l’évidence : ce n’est pas Guy Dauphin qui fut brûlé ce jour-là dans l’île aux Juifs, mais Geoffroy de Charnay, le commandeur de Normandie.

  1. Baluze, Histoire généalogique de la maison d’Auvergne, Paris 1708, t. I p. 174. 

  2. Dupuy : Histoire de la condamnation des Templiers, Paris 1654, p. 65. 

  3. M. Lancelot : Histoire de l'Académie royale des inscriptions et belles-lettres,, t. 8, Paris 1733, pp. 682 sqq. 

  4. Elie Jaloustre : Pèlerinage d’Auvergne. Notre-Dame de Ronzières, Riom 1913, p. 86. 

  5. Michelet I 416. 

  6. Michelet I p. 418. 

  7. R. Sève et A-M. Chagny-Sève, p. 235. 

  8. Michelet II p. 219. 

  9. Michelet II p. 239. 

  10. A. Gilmour-Bryson, p. 111. 

  11. R. Sève et A-M. Chagny-Sève, p. 242. 

  12. Michelet, I 418, II 237, II 254. 

  13. Michelet, II pp. 280-281. 

  14. Précepteur du Bastit au diocèse de Cahors, 45 ans. Il a déposé le 21 octobre. (Michelet I 290-91). 

  15. Archives de Barcelone, ms 2481, cité par Finke p. 309. 

  16. Schottmüller, t. II pp. 37-38. 

  17. voir aussi Schottmüller I, pp. 66 et 273. 

  18. Michelet I p. 377. 

  19. Michelet I pp. 415-420. 

  20. vidimus ms in Baluze, (f° 504), cité par Dupuy, op. cit. p. 183. 

  21. Dupuy, op. cit. 

  22. abbé L. Neveu : Procès des Templiers, Paris 1877, pp. 46-48. 

  23. Baluze, op. cit. p. 175. 

  24. Chronique de Guillaume de Nangis, in Coll. des Mémoires relatifs à l’histoire de France, Paris 1825, pp. 299-301.