Accueil > Histoire > Les Templiers et la métallurgie

Les Templiers et la métallurgie

On possède très peu d'informations sur la métallurgie au Moyen-Age. Au 12ème et 13ème siècle, la métallurgie, pour ce que l'on en sait, suivait les techniques anciennes, mais on observe au début du 14ème siècle une récession en matière de métallurgie, puis une reprise une quarantaine d'années plus tard sous une forme renouvelée : reprise en main différente, organisation au niveau du travail du métal, des corporations en particulier, redistribution des tâches, internationalisation du commerce. On s'achemine de plus en plus vers une technicité qui présage une ère industrielle différente.

Les Templiers dans tout cela ? A moins de remettre en question ce qu'ils étaient fondamentalement, c'est-à-dire des gens qui ont fait « de tout », partout, chaque fois que la nécessité l’exigeait, on ne peut faire l’économie d’une incursion dans tous les domaines, y compris les plus inattendus. Une fois qu’on a fait la part de l'aspect militaire, de l'aspect religieux, de l'aspect diplomatique, social, bancaire, artisanal, agricole, il reste l'aspect industriel et c’est de loin le moins connu. Les données à ce sujet sont rares, aucun livre n'ayant jamais été écrit, à ce jour en tout cas, sur ce thème.

Le métal au quotidien

Les Templiers, dès l’origine de l’Ordre, ont eu nécessairement recours à la métallurgie, et tout premièrement en ce qui concerne l'armement, le harnachement des chevaux, tout ce qui concerne la guerre, la Croisade et leur état de chevalier. La guerre, rappelons-le, était une réalité de tous les jours non seulement pour les Templiers du Moyen-Orient mais aussi dans la péninsule Ibérique. Pour les Templiers d’Europe non concernés par la guerre sainte, le métal conditionnait l'équipement agricole et artisanal des Commanderies.

Chaque fois qu’on le peut, naturellement, on utilise le bois, un bois épointé, durci au feu, rendu efficace de multiples manières. Le métal étant cher, il est peu utilisé, mais, quand on regarde d’un peu près les quelques inventaires qu'on a pu trouver dans les Commanderies au moment de l'arrestation, on constate qu'ils possédaient nombre d'instruments en métal, en particulier des instruments aratoires et des outils. C'est le signe, certes, que le Templiers étaient suffisamment riches pour s’en procurer, et une telle capacité financière ne se trouvait pas habituellement dans de petites exploitations, mais cela manifeste surtout une volonté d'investir pour rendre le travail efficace et, cela, c'est tout à fait conforme à l'esprit des Templiers. Autant les inventaires font état de peu de choses en ce qui concerne leur vie propre, un confort minimum voire même en dessous du minimum, mais pour ce qui concerne le travail, c'est-à-dire la mission fondamentale de l'Ordre, celle que chacun d’eux a à remplir là où il est au service des hommes et au service de l'Ordre auquel il appartient, on constate qu'ils sont capables de donner et d'investir beaucoup.

La question de la monnaie

Le métal était bien entendu utilisé dans la monnaie, mais, dans ce domaine, les Templiers n'ont pas de part. Ils n’ont jamais battu monnaie. S'ils ont joué un grand rôle dans le domaine financier, bancaire surtout, ils n'ont jamais été des gens de commerce ou d’affaires au sens où nous pourrions l’entendre aujourd’hui, ni une puissance politique. La monnaie à l'époque n’est pas unique. On utilise la monnaie battue à Paris, le parisis, et celle qui est battue dans différentes villes de province, l'angevin et le tournois par exemple, frappés à Angers et à Tours. Mais il en existe d'autres dans chaque région, des monnaies battues par de puissants seigneurs. Les Templiers tiennent une place à part dans l’organisation féodale : ils sont gens d'Église sans être soumis aux évêques, en même temps qu'ils sont gens de terrain sans être soumis au Roi. Ni vassaux ni suzerains, ils sont à la fois de l'Église et du Royaume et n'appartiennent en fait à aucun. Ils n'ont donc aucun droit de battre monnaie ; ils n'ont aucune ingérence dans le système économique qu'ils ne font qu'utiliser, servir et améliorer, sans y intervenir directement. On ne saurait donc chercher, dans l'activité métallurgique qu’on pu avoir les Templiers, un rapport avec une capacité de frappe monétaire qu’ils n’ont jamais eue, du moins pour ce qui les concerne.

Les métiers du métal

L’armement fait travailler bon nombre d'artisans de la métallurgie. Le travailleur du métal, s'appelle le fèvre, du latin faber, celui qui fabrique, parce que le travail du fer est considérée comme la première activité de l'homme, la première activité noble, celle qui le fait avancer sur le chemin de l'évolution. Ce n'est pas un hasard si nous partons de l'Homo Faber pour retracer les grandes étapes de l'évolution de l'humanité. Nombreuses sont les corporations intéressées par les travaux demandés par les Chevaliers du Temple : les armuriers, les heaumiers, les haubergiers, les couteliers, spécialisés dans les armes blanches, épées et couteaux, ceux qui fabriquent les cottes de mailles, les boucliers, les fourbisseurs d'épées, les fabricants d'étriers, d'éperons, de harnachements pour chevaux… Dans un tout autre domaine, les Templiers ont recours aux artisans qui fabriquent les instrument agricoles, et, pour ce qui est des animaux, aux maréchaux qui représentent une corporation très importante en ce Moyen-Age où le cheval est omniprésent comme animal de selle, bien sûr, mais aussi comme animal de bât aussi bien que de trait. On a sans cesse besoin de pièces de harnachement, de ferrures, d’étriers, d’éperons, mais aussi de cerclage pour les roues des charrettes.

Le travail des métaux

Où se situent ces artisans ? Le travail de la métallurgie se fait en deux temps : production, puis transformation. La production se fait dans les vallées minières où affleurent les filons qui sont souvent exploités à ciel ouvert et quelquefois aussi dans des galeries creusées dans la roche. L'extraction se fait au moyen d'outils relativement simples, en particulier des pics, sortes de barres à mine qui servent à faire sauter le filon métallique pour le désolidariser de la roche dans lequel il est enserré. Ensuite intervient tout un travail de lavage et d'affinage qui se fait sur place au départ. Lorsque le produit est affiné, on le transfère dans des centres urbains les plus proches, et même quelquefois beaucoup plus éloignés, car c’est dans les bourgs, en zone urbaine, que se fait la transformation du métal. A ce stade, la technologie à proprement parler commence à se mettre en œuvre. L’ajustage, par exemple, semble ne s’être pratiqué qu’à Paris.

Il n'est pas dans nos compétences d’entrer dans les procédés technologiques, mais simplement d’esquisser un panorama de l’activité métallurgique à l’époque du Temple. On voit apparaître deux pôles bien distincts : la métallurgie qui se fait sur place (extraction, production), et la métallurgie de transformation et de commercialisation qui se fait dans des centres plus importants et dans de grandes villes comme Milan, par exemple, qui a été au 13ème, au 14ème s. et même après, un important centre de distribution. Elle concentrait toute la production qui venait de la Haute Vallée du Piémont, du Valcamonica, de la région de Bergame, puis redistribuait le fer et les différents métaux dans les différents pays d'Europe et du Moyen Orient par l'intermédiaire des ports de Gênes et de Venise.

Les Templiers, encore une fois, dans tout cela ? On sait que les Commanderies étaient toujours situées en dehors des villes, extra muros (si aujourd'hui certains emplacements de Commanderies se trouvent à l'intérieur des murs, c'est tout simplement parce que les villes se sont agrandies depuis le Moyen-Age). A l'époque en effet, les Commanderies se trouvent toujours à la campagne et, dans les villes, les Templiers ne possèdent que des locaux qui leur servent de comptoir pour leur opérations commerciales. A Paris l'enclos du Temple est un domaine entouré de hauts murs, une sorte de place-forte au nord de Paris, assez loin des murs de la ville, dans une zone de marécage d'où vient le nom de ce quartier devenu central de Paris qui s'appelle « le Marais ».

Quand on observe le rôle des tailles, c'est-à-dire des impôts, au début du 14ème s., on s'aperçoit que les artisans du métal s'étaient organisés dans Paris par quartiers. Beaucoup de ces artisans étaient installés sur la rive droite et en particulier le long de cet axe qui va du Châtelet actuel jusqu'à Beaubourg et un peu au-dessus : c'est la voie qui conduit à l'enclos du Temple, comme si le Temple abritait près de ses murs les corporations utiles à ses travaux. On le sait pour la boucherie par exemple, et il semble en être de même pour la métallurgie. Hélas on ne trouve jamais le Temple sur le rôle des tailles, puisque le Temple ne payait pas l’impôt. Les seuls artisans qui apparaissent sur les rôles sont des artisans laïques qui, eux, payent redevance et sont ainsi inscrits dans la mémoire de l'État.

Les Templiers métallurgistes ?

Dans la mesure où les besoins en métal étaient multiples et conditionnaient, dans bien des domaines, l’action même du Temple en Europe et au Moyen-Orient, on peut légitimement imaginer qu’ils ont cherché à exploiter eux-mêmes des gisements et même à pratiquer la transformation des métaux, mais cela reste à démontrer. On sait, par exemple, que les Templiers ont acheté des tonnes de métal pour le Moyen-Orient. On a trace d'une transaction au 13ème s., selon laquelle les Templiers de Saint-Jean-d'Acre avaient acheté à la ville de Milan une dizaine de tonnes de métal. S’ils avaient été en mesure de les produire eux-mêmes, ils ne les auraient sans doute pas achetées. Cela ne prouve pas que les Templiers ne produisaient pas de métal, mais seulement qu’éventuellement, ils n’en produisaient pas toujours suffisamment. Si on considère l'implantation Templière, on s'aperçoit qu'il existait des Commanderies dans des zones minières. Prenons par exemple le bassin minier de la Savoie, du côté du Massif de Chartreuse. Il y a là des filons connus et exploités depuis très longtemps. Le peuple qui habitait cette région du temps des Romains, les Allobroges, était un peuple de métallurgistes dont les Romains ont beaucoup appris, à commencer par la fabrication du verre, mais ceci c'est une autre histoire. Ces routes de la Savoie, connues depuis la plus Haute Antiquité, étaient rares en raison de la difficulté du terrain mais souvent réparées, agrandies, entretenues en tout cas. Ce sont les mêmes routes où passaient les Allobroges, les éléphants d’Hannibal, les légions romaines, les pèlerins, les colporteurs et les Templiers. Les maisons du Temple se trouvaient tout naturellement le long de ces voies, comme elles se trouvaient un peu partout le long des voies qu'on dit romaines et qui sont en fait celles de l'Europe antique. Dans cette région des Hautes-Alpes, on a connaissance d’un certain nombre d'établissements templiers, et ceci même dans des endroits relativement peu accessibles. On peut se poser la question de savoir pourquoi les Templiers étaient présents dans de tels endroits. Certes, il fallait des relais un peu partout puisque la Savoie était une véritable plaque tournante, un nœud de communication non seulement entre la France et l’Italie mais avec le Sud de l'Allemagne, les pays Baltes et les Balkans où les Templiers avaient aussi des établissements.

Les implantations templières dans les Alpes correspondent aux endroits où l'on sait qu'à cette époque-là, la mine a été exploitée d'une manière intensive. C’est le cas du Massif de l'Oisans et de certaines localité comme Allevard et Vizille. A Vizille on voit encore, du moins en partie, la ferme des Templiers, et il existe encore à Allevard la rue des Templiers et le Faubourg des Templiers. Ce sont des bourgades essentiellement minières, avec des filons très importants de ce que l'on appelait la galène, le plomb argentifère. Dans d'autres régions, en Franche-Comté en particulier, mais aussi en Lorraine ou dans l'Eure, le long des rivières en général car l'eau courante est nécessaire à l’extraction et au travail des métaux, les Templiers se sont installés près des gisements sans qu'on ait des traces certaines de leur activité et qu'on puisse dire qu'il ait existé véritablement des forges templières.Les observations de ce type sont suffisamment nombreuses pour qu'on puisse en déduire que les Templiers n'ont pas été étrangers au travail des métaux. Dans le bassin minier lorrain, la Commanderie de Brouvelieures est installée sur un site métallurgique qui a été en exploitation jusqu'à l'avènement de l'ère industrielle. Dans l'Eure, les Templiers sont présents dans des endroits comme la Ferrière, qui porte bien son nom, sur la Vallée de la Risle où fleurissait l’exploitation du fer, en particulier à cette époque. On pourrait faire la même observation partout ailleurs. En Espagne, du côté de Bilbao où on extrait un fer tout à fait particulier, les Templiers étaient présents aussi bien dans l'extraction que dans le transport et la manufacture des objets après transformation, avant d’être, en bout de chaîne, les utilisateurs des instruments métalliques qu’ils avaient ainsi contribué à créer.

Le port de La Rochelle et les mines d’Amérique du Sud

Si l’on veut être à peu près complet sur ce panorama global de l'activité métallurgique des Templiers, on ne peut pas ignorer une idée qui a été présentée comme une hypothèse mais une hypothèse séduisante. Elle a été évoquée la première fois par Louis Charpentier qui a écrit différents ouvrages sur l'Ordre du Temple ; elle a été reprise et développée par Jacques de Mahieu qui fut professeur d'université au Brésil. La thèse qu’il développe se fonde essentiellement sur le réseau routier utilisé par les Templiers, et dont le tracé se déduit en fait de l'implantation des Commanderies. L’observation laisse apparaître un lieu particulier où convergent sept routes templières à partir de toutes les régions du royaume : c'est le port de la Rochelle, où les Templiers possédaient une grande maison et surtout une flotte importante. Certes, il paraît naturel que les Templiers aient entretenu une flotte en Méditerranée, mais qu’ils aient basé une flotte à la Rochelle, cela surprend un peu. Il ne paraît pas très pratique, à priori, de passer par l'Atlantique et de contourner Gibraltar pour entrer en Méditerranée et, de là, rejoindre la Terre Sainte. Certes cela se pratiquait : les commanderies du Portugal, par exemple, donnaient sur l'Atlantique. La convergence des routes sur le port de la Rochelle pose malgré tout question.

Le port de la Rochelle étant tourné vers le grand Ouest, peut-être les Templiers ont-ils jeté un regard sur ce qui pouvait se trouver de l'autre côté de l'océan ? Naturellement on pense à l'Amérique. Nous sommes bien avant Christophe Colomb, certes, mais aussi bien après les navigations mythiques comme celle de Saint Brendan au 7ème s. et les découvertes des Vikings s'échelonnent tout le long du Moyen Age. Les Templiers, qui étaient présents un peu partout, n'auraient-ils pas eu connaissance de cette possibilité de trouver un ailleurs, où peut-être l’Ordre trouverait matière, non pas à s'enrichir sur le plan matériel, mais à servir davantage l'humanité. Il était tout à fait dans l'esprit des Templiers d'être des pionniers et une telle entreprise n'aurait rien de surprenant. De là, l’hypothèse s’est déroulée : la Rochelle était peut-être le port qui leur servait de base de départ pour ce grand Occident. Ils auraient ainsi pu rejoindre les Antilles, le Brésil, le Mexique, le Canada pourquoi pas ? L’Amérique du Sud est réputée depuis longtemps pour ses bassins miniers. Les Templiers seraient-ils allés là-bas chercher cet argent et cet or, qu'ils auraient rapportés en Europe pour le mettre au service de leur cause ? Ainsi pourrait peut-être, pour une part du moins, s’expliquer l'extraordinaire richesse de l'Ordre du Temple…

Des mines templières ?

Jacques de Mahieu appuie son hypothèse sur le fait qu'il constate un afflux d'argent (minerai) à l’époque du Temple, qui s'est traduit en Europe par un afflux de monnaie d’argent. Les Templiers seraient à l’origine de cet afflux monétaire grâce à leurs liaisons maritimes avec le continent américain qui auraient permis l’importation massive du métal précieux. Mais nous sommes là vraiment dans le domaine de la supposition. L'afflux d'argent est tout à fait relatif à cette époque-là et, de toute façon, il y avait d'autres possibilités de se procurer le métal plus simples que d'aller le chercher en Amérique.

En France, on l'extrayait en Franche-Comté, dans les Alpes, dans le Sud de la France. Montfort-sur-Argens, par exemple, tirerait son nom de la présence de filons argentifères. Les Templiers y possédèrent une petite maison-forte dès 1207. Des études auraient montré que le pic d’exploitation du minerai en ces lieux se situait au 13ème s. De plus, il semblerait qu'à partir du début du siècle suivant, - à l’époque précisément où toute activité templière cesse brutalement en raison de l’arrestation -, l’exploitation minière tombe en désuétude. Les filons étaient-ils épuisés suite à une extraction trop importante rendue nécessaire par des besoins d'argent ? La disparition de l’Ordre a-t-elle entraîné avec elle la désorganisation de la production ? Quoi qu’il en soit, il faudra attendre une cinquantaine d'années pour que l'exploitation reparte sur des bases nouvelles.

Les gisements métallifères exploités au Moyen-âge sont extrêmement nombreux : Haute-Alsace, Vosges, Auvergne (région de Clermont-Ferrand, Cantal, Haute-Loire…), Rouergue, Ardèche, Cévennes, Alpes, Languedoc, Bretagne, Normandie… Peut-être un jour quelque chercheur se livrera-t-il à une comparaison systématique entre l’implantation des commanderies et les zones d’extraction minière ? Pour une connaissance toujours plus approfondie de l’Ordre du Temple et pour le service de tous.

Bibliographie

Mme Marie-Christine Bailly-Maître, sociétaire du CNRS attachée à l’Université de Grenoble, Directrice de Recherches à l’Université d’Aix-en-Provence, est sans conteste une des grands spécialistes de la mine au Moyen-âge et de la question minière dans le quart sud-est de la France. Les titres qui suivent ne sont qu’un infime extrait de sa production.

Bailly-Maître Marie-Christine
L'argent, du minerai au pouvoir dans la France médiévale
coll. « Espaces médiévaux », éditions Picard, Paris, 2002.

Bailly-Maître Marie-Christine
Brandes et les mines d'argent du Dauphin au Moyen-âge,
1994

Bailly-Maître Marie-Christine, Bruno Joëlle
Brandes-en-Oisans : la mine d'argent des Dauphins (XII-XIVe s)
Service Régional de l'Archéologie de Rhône-Alpes, 1994.

Bailly-Maître Marie-Christine, Bruno Joëlle
Un village minier de haute montagne au Moyen-Age, Brandes-en-Oisans
Grenoble, 1979.

Bailly-Maître Marie-Christine, Bruno Joëlle
Inventaire des mines, carrières et centres métallurgiques dans les Alpes occidentales au Moyen-Age (VIe-XVIe siècles)
Archéologie Médiévale (chroniques), 1983, t.XIII, p.349-351

Bailly-Maître Marie-Christine
Les techniques minières au Moyen Age et au début des Temps modernes
Musée des Arts et Métiers, La Revue, n°4, p.22-32

Bailly-Maître Marie-Christine
L'art des mines au Moyen Âge
Les cahiers des soirées scientifiques du Conservatoire National des Arts et Métiers de Champagne-Ardennes, n°8, déc. 2001, Presses Universitaires de Reims, p.21-50.

Bouchayer Auguste
Les Chartreux maîtres de forge
Grenoble 1984

[Collectif]
Hommes et travail du métal dans les villes médiévales
AEDEH, diffusion Picard, 1988.

[Collectif]
Moines et métallurgie dans la France médiévale
AEDEH, diffusion Picard, 1991.

Liens

L’histoire minière de l’Oisans
http://louis.gandoy.free.fr/oisans.html

Incandescences médiévales : La fusion du fer entre technique et spiritualité
http://terrain.revues.org/document3049.html